Les réserves d’eau sont au plus bas. Au 1er septembre, 90 % des cours d’eau rencontraient des difficultés d’écoulement ou étaient complètement à sec.
Les sols ont eux aussi souffert, favorisant le ruissellement et empêchant un rechargement des nappes phréatiques qui sont pourtant des réserves souterraines primordiales.
Le Bureau de recherches géologiques et minières a envisagé qu’il faudrait deux hivers pluvieux pour que les nappes se rétablissent.